5.12.07

Les déroutes de Chavez



Porque no te callas?


J'ai l'impression d'être seule à ne pas pouvoir supporter Chavez. Lorsque j'écoute ses déclarations, je m'interroge sérieusement sur sa santé mentale. Est-ce possible de lancer autant de bêtises et d'être sain d'esprit? Seul le Roi d'Espagne m'a confirmé que je n'étais pas seule à le trouver dingue quand il a lancé le populaire "Porque no te callas?" en 2007.


Je ne crois pas que sa gérence soit saine pour son pays. Et pourtant, c'est lui qui veut repartager la richesse également. Malgré la nationalisation de compagnies de pétrole et un butin généreux en raison du prix du barril élevé, l'économie du pays est en déroute. Dans les reportages télé, je vois les tablettes des épiceries vidées et les collègues qui travaillent au Venezuela me commentent l'insécurité immédiate qu'ils ressentent à l'arrivée à l'aéroport de Caracas. Le fric du pétrole, il le flambe en achetant des avions d'attaques russes et chinois. Il a une attitude offensive et dérange tout le monde à part les dirigeants de son calibre: Daniel Ortega, Mahmoud Ahmadinejab et les autres sur un même thème de gauche craqués! En plus, il emmerde les Colombiens en appuyant le mouvement des FARC, né en 1964 sur une idéologie de gauche idéologique, cette guérilla vit maintenant du narcotraffic et de rançons de l'enlèvement de politiciens, de militaires, de policiers et de civils.


Je vous rappelle qu'il devrait se taire!


Nous sommes le 10 décembre 2008. Encore un fois, c'est le top! Le parti de Chavez, le Partido Socialista Unido de Venezuela (PSUV), souhaite changer l'article 230 de la Constitution Nationale. Cet article dit actuellement que la période présidentielle est de six ans et que le président peut être réélu une seule fois pour une période supplémentaire. Le PSUV veut changer l'article pour que le président soit réélu sans restriction. Le référendum du 2 décembre 2007 pour réformer la Constitution, où il était inclu la réélection indéfinie, avait pourtant porté gagnant le "Non". Décidemment, les chavistes persistent. Et le président fou s'accroche au pouvoir.


Le pire malheur des Venezuéliens a été de réélire une deuxième fois Chavez en 2006, ce qui nous oblige à le tolérer dans l'arène politique mondiale encore jusqu'en 2013!


Voici quelqu'unes des phrases les plus ravissantes qu'a prononcé Chavez (source Semana, 1er au 8 juin 2009), les phrases sont en espagnol pour que les intéressés latinos se bidonnent:


Marisabel, preparate que esta noche te doy lo tuyo. Te acuerdas de aquella noche en el Volkswagen?, ceci est le message envoyé à son épouse le jour des amoureux en 2000.




Aznar es un fascista que ademas de apoyar el golpe de Estado de abril de 2002, es de la calana de Adolf Hitler, un tipo que da asco y lastima, un verdadero lacayo de Georges Bush, a-t-il dit sur l'ancien président espagnol Jose Maria Aznar le 27 avril 2007.




Eres un burro, un "donkey", Mr. Danger, un cobarde, un alcoholico, eres de lo peor que ha habido en este planeta. Dios libre al mundo de esta amenaza, a-t-il lancé à l'ex-président Georges W. Bush le 19 mars 2006.




Triste peon del imperio, asi quedaras en la historia. No mereces ser Presidente de Colombia! Cobarde, mentiroso, cizanero, maniobrero... Uribe sirve para ser jefe de una mafia. Don Vito Corleone se queda corto antes hombres como Alvaro Uribe, 21 janvier 2008.




Yo andaba con un colico. Tenia diarrea, estaba sudando frio y apretaba aqui abajo. Estaba pariendo y le dije: "aranque compadre, porque si no, le dejo aqui la..." lorsque il racontait ses problèmes d'estomac à ses auditeurs à Alo Presidente le dimanche 3 août 2008.




Vayanse al carajo cien veces, yanquis de mierda, que aqui hay un pueblo digno, pour annoncer l'expulsion de l'Ambassadeur des États-Unis le 11 septembre 2008.






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